Ce Cœur divin est un abîme de joie où nous immergeons tous nos regrets ; c’est un abîme d’humilité, un remède à notre vanité (Sainte Marguerite-Marie Alacoque)
Jésus, grâce à son amour miséricordieux a guéri les malades qui lui étaient présentés et avec quelques pains et quelques poissons Il a calmé la faim de grandes foules (François)
Emu par tant de souffrances, le Christ non seulement se laisse toucher par les malades, mais il fait siennes leurs misères : "Il a pris nos infirmités et s’est chargé de nos maladies" (Mt 8,17 ; cf. Is 53,4) (Catéchisme de l’Eglise Catholique, nº 1505)