A la naissance du Seigneur, les anges chantent remplis de joie. Comment, donc, la petitesse de l’homme ne pourrait-elle pas de réjouir devant cette œuvre inénarrable de la miséricorde divine, quand même les chœurs sublimes des anges y trouvaient un plaisir si intense ? (Saint Léon le Grand)
N’importe quelle raison peut effacer la joie de l’homme, n’importe quelle difficulté. Mais cette joie, que le Seigneur nous donne, nous fait profiter de l’espoir de le rencontrer, même dans les moments les plus obscurs (François)
(…) Le Christ qui a tout assumé afin de tout racheter est glorifié par les demandes que nous offrons au Père en son Nom (cf. Jn14, 13). C’est dans cette assurance que Jacques et Paul nous exhortent à prier en toute occasion (Catéchisme de l’Eglise catholique, n° 2.633)