Celle qui fut guérie a montré beaucoup de vertu et l’avantage qu’elle avait tiré de sa maladie : dès qu’elle fut guérie elle ne voulut utiliser sa santé que pour se mettre au service du Seigneur (Saint François de Sales)
Nous avons tous besoin d’avoir de la chaleur humaine dans la maladie : pour consoler une personne malade, plutôt que des mots, ce qui compte c’est la proximité sereine et sincère (Benoît XVI)
La maladie peut conduire à l’angoisse, au repliement sur soi, parfois même au désespoir et à la révolte contre Dieu. Elle peut aussi rendre la personne plus mûre, l’aider à discerner dans sa vie ce qui n’est pas essentiel pour se tourner vers ce qui l’est. Très souvent, la maladie provoque une recherche de Dieu, un retour à Lui (Catéchisme de l’Eglise Catholique, nº 1501)