Le fardeau du Christ est si léger, que non seulement il ne pèse pas, mais il soulage. Tu devrais le porter pour te sentir allégé ; si tu l’enlèves tu te retrouveras écrasé (Saint Augustin)
Lorsque Dieu pose son bras sur notre épaule, comme “son doux joug”, cela n’est pas un poids qui nous pèse, mais plutôt un geste d’acceptation empli d’amour. Le “joug” de ce bras n’est pas un poids mais plutôt le don d’amour qui nous soutient et fait de nous ses enfants (Benoit XVI)
Le Verbe s’est fait chair pour être notre modèle de sainteté : ‘Prenez sur vous mon joug, et apprenez de moi […]’ (Mt 11,29) (Catéchisme de l’Eglise Catholique, n°459)