Pendant tout ce temps qui s’est écoulé entre la résurrection du Seigneur et son ascension, voilà de quoi la providence divine s’est occupée, voilà ce qu’elle a enseigné, voilà ce qu’elle a fait comprendre au yeux et aux cœurs de ses amis : on reconnaitrait que le Seigneur Jésus est vraiment ressuscité, lui qui vraiment était né, avait souffert et était mort vraiment (Saint Léon le Grand)
Mais il importe ici de bien saisir le secret de la joie insondable qui habite Jésus, et qui lui est propre. Si Jésus rayonne une telle paix, une telle assurance, une telle allégresse, une telle disponibilité, c’est à cause de l’amour ineffable dont il se sait aimé de son Père (Saint Paul VI)
(…) La vertu de force rend capable de vaincre la peur, même de la mort, d’affronter l’épreuve et les persécutions. Elle dispose à aller jusqu’au renoncement et au sacrifice de sa vie pour défendre une juste cause. (…) "Dans le monde, vous aurez de l’affliction, mais courage, moi j’ai vaincu le monde" (Jn 16,33) (Catéchisme de l’Eglise Catholique, nº1.808)