Les princes des prêtres et les scribes craignaient le peuple, la vérité : la preuve de la fuite c’est la crainte du cœur (Saint Augustin)
Ne jamais condamner ! Si tu as envie de condamner, condamne-toi toi-même. Je demande au Seigneur la grâce que notre cœur soit brillant avec la Vérité, grand avec les personnes, miséricordieux (François)
En Lui, c’est la même Parole de Dieu qui avait retenti au Sinaï pour donner à Moïse la Loi écrite, qui se fait entendre de nouveau sur la Montagne des Béatitudes. Cette parole n’abolit pas la Loi mais l’accomplit en fournissant de manière divine son interprétation ultime (…) (Catéchisme de l’Eglise Catholique, nº581)